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Blog - Page 30

  • THIERRY BAUMANN 2

    Prenez quelques minutes amis bloggers pour faire clics et de ce fait aider Thierry Baumann à se hisser dans les 30 premiers à la demi-finale du zicmeUp. Il est encore temps, c'est à dire 3 jours  . 1 point c'est gratuit , ça prend que 5 minutes , lunois je compte sur vous .

    Vous m'avez dit aimer notre chanson alors cliquer l@ .

    En attendant moi je fais mon petit sac pour aller le voir sur scène dans la grande ville pleine de rues demain .

  • THIERRY BAUMANN

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    Un message à faire passer à la terre entière :
    Un moment important, le 14 avril Thierry Baumann sera sur la scène du Réservoir à Paris. Je vous invite à aller sur son site, pour écouter, découvrir son univers et dire . CLIC L@
    Ecrire les paroles avec Thierry Baumann de la chanson : l’interrupteur , fut un réel plaisir. Créer et réunir les langages est une jolie chose qui traverse l'existence.
    À l'effet boule de neige moi aussi j'y crois :)

     

  • Produit Bio

    Faut que je brûle des calories. Moi Sandrine, épouse et mère d’un beau jeune homme de 18 ans, je dois commencer un régime. Le sucre qui s’est transformé en gras sur mon bourrelet, c’est que de l’excès, de l’excès de tranquillité. Je me sens toute molle, et enrobée dans ma vie paisible. Il y a trop de douceurs et de gras autour de moi, on a toujours du beurre dans le frigidaire , un peu d’argent sur le CODEVI et le sourire du crémier tous les lundis, au rayon frais du supermarché. J’ai mes habitudes, avec option shopping le dernier samedi du mois.
    Le dimanche, je fais un peu de jardinage ou le grand ménage, y pas de mer ni de forêt aux environs pour aller se balader. Je pense parfois à voyager en Thailande ou au Canada, après tout, on a les moyens. Puis 5 minutes après j’oublie, j’oublie trop vite l’envie de dépoussiérer un peu notre vie. C’est le goût des épices, de la découverte, de l’étonnement qu’il me manque dans l’existence. Des rires , des crises et des abus.
    Pourtant j’ai l’impression d’avoir du caractère, c’est régulièrement que je fais la gueule à mon mari.
    Peut-être aurait-il fallu que je sois fascinée dans mon enfance par des parents aventuriers ou  révolutionnaires pour détenir un brin de contestation. Ou alors très riches, je serais allée dans des écoles privées et sans trop forcer j’aurais moi aussi une bonne situation ou du moins j’aurais rencontré un riche mari, le fils d’ un ami de mes parents. Ou encore, le contraire j’aurais pu être motivée par le besoin de me sortir de la misère, j'aurais bénificié d'une âme de guerrière. Si au moins j’avais eu un accident ou une maladie, j’aurais une revanche à prendre sur la vie…. Je n’ai même pas eu de gros chagrin d’amour, tout juste quelques amours mais pas assez forts pour briser mon cœur. Aurais-je le cœur pas assez gros ? ça serait le bouquet !
    Même ma crise de quadragénaire ressemble au commun portrait féminin.
    Je suis ronde . Tout roule, j’ai l’impression de tourner en rond, je mange , ouvre la bouche et donc me tais . Moi Sandrine, j'ai pris pour habitude de remplacer les inutiles contrariétés par du chocolat ou du Seresta, selon…Je me dis que ça va passer, c’est rien, rien que de l’ennui.

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  • Un film , mais pas en super 8 .

    Parfois je mesure à quel point les soupçons et les peurs ont pu ( ou peuvent) rendre les visages crispés, laids . Les sourcils sont froncés, le regard sombre et le discernement faussé . Des visages avec plein de rides mais pas celles du sourire. L'idée d'avoir un jour, mon visage  mis tout en plis de la sorte me fait un peu flipper . je ne pourrais pas m'encadrer...
    Je fais le souhait d'avoir un jour 100 ans, avec ce visage où seuls les bons moments seraient marqués. À aucun moment, ma peau n'aurait été étirée ni mon âge réduit. Rien à effacer pas même l’incertain sentiment de culpabilité. Sans oublier, sur le front, le trait tiré sur les souffrances diverses et variées. Mon regard, inexorablement, tourné vers l’horizon. Chaque sillon aurait un sens. Et le rappel des beaux instants, des rencontres, de certaines décisions me nourrirait ou me provoquerait des frissons, une réaction épidermique…
    Mais que dis je ? Que fais je ? Je rêve ….
    Voilà voilà l’illustration d’ une rêverie.Souriez vous êtes filmés :)

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  • Morsure .

    La vie ressemble souvent à une blague, une mauvaise, une passable…J’ai tendance à l’oublier lors des instants de répit .
    Je sais c’est ballot. Tant pis  pour le 1er avril …
    Des morsures qui reviennent avec récurrence régulière.
    Protexxio lease, no believe and no comment please.

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  • LA MONTAGNE DE MOTS EN VENTE : LIBRAIRIE SAURAMPS PLACE DE LA COMÉDIE 34 000 MONTPELLIER

    Un livre, le mien en vente depuis ce matin :

    LIBRAIRIE SAURAMPS Place de la Comédie 34 000 Montpellier

    et toujours :

    LIBRAIRIE LIBELLIS 43 rue Droite 11 100 Narbonne

    et FLAM edition, c'est à dire  l@

     

    LA MONTAGNE DE MOTS

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  • "le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre"

    L’ivresse, ma compagne, inlassablement. Je suis infatigable, insatiable silencieux, je pense et je me dis : Pas encore prêt à abdiquer, à nouveau, aux codes sociaux.
    Le décor d’un bar me trouble. La chaleur d’un éclairage ocre et tamisé contraste avec des cloisons de verre et d’acier, les tables et les chaises possèdent à la fois, forme ancienne, et matière plexi. L’usage et l’esprit se mélangent, les siècles, les époques semblent s'amuser ici. Rien n'est figé. Rien de comparable avec les banquettes des troquets, en bordure de fleuve. Moleskine, brume et brunes cigarettes paraissant à des années lumières d’ici.
    La curieuse conception de ce bistro « temps «  moderne et contemporain attire les regards extérieurs. Le mien en l’occurrence, capté par cette ambiance singulière. L’envie d’un vertige dans ce lieu quasi intemporel m’appelle….
    Puis il y a cette femme décidée à poursuivre la nuit avec moi, tous deux avons du vague dans l’âme. Tout semble amer. La curieuse a tellement insisté pour connaître mon univers. Je n’ai pas de détermination, ce courage de décliner sa compagnie. Je  pense lui donner l'impression  de comprendre ses motivations, son aversion face à la solitude.
    Je lui fait les honneurs de chez moi, l’antre de mes états, parfois seconds. Elle parle beaucoup et m’informe de tout ce qu’il faut savoir de sa vie. Je reste muet. Je la caresse du regard, la femme apprécie. Je l’écoute et ne dis rien. Je sonde ce genre féminin.Mon visage reste ouvert.
    Mon visage ouvert et ma pensée en travaux. Je ne peux lui fournir qu’ une écoute, une incertaine affection, pour l’instant. L’après n’existe pas pour moi, il ne demeure juste un avant toi
    Ma journée s’appelle visage. La rencontre d'une tête, en huis clos, avec la mienne. Une écoute, avec un flirt fixé sur le dessus.
    J’ espère juste que mon silence ne lui laissera rien de spécial à présumer . Je ne consens pas au désir charnel… Je m’y refuse, est-elle, sans doute très déçue…

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  • La tête me manque.

    Je suis un si...Ainsi je change au dernier moment et souvent  de décision, pas pour observer la tête qu'ils feront, enfin pas seulement .

     

  • Commun soldat

    Je voudrais être une fatigue, où la pesanteur des postures s’apparente à la caresse d’une paresse. Moi un être au milieu d’un couffin douillet, me blottir dans des gestes tendres et moelleux. Je voudrais m’enrouler dans le coton des caresses autour de jolis mots onctueux : Aux confins d’une lourdeur quasi voulue, dotée d’un sourire en coin signifiant que j’ai bon vécu, vécu beau…
    Oui je suis fatiguée, mais…
    Mais prétends avoir pour obligation de répondre présente à l’appel. Au milieu des debouts dans la section. L’ habit étroit du devoir me fatigue et ne me convient pas, l’uniformité ralentit mes gestes et me fait, parfois, froid dans le dos. Tout cela ne me tient en aucun cas chaud. Ma faiblesse s’apparente à une place de laquelle il ne me semble pas pouvoir bouger :  le cachot  de mes décisions …. Je frissonne à l’idée de garder le regard droit devant moi. Je n’ai pas raison de rester, rester au garde à vous face à la tort peur .
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  • Jeu

    Un t-shirt rouge tout à fait moi

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