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  • Les gens bons.

    Proverbe lunois d’ été, était :
    Une histoire, une d’amour, d’amitié, de famille, bref l’existence tout court ça s’ attrape ou dérape et les émois ainsi se propagent , avec parfois le regard porté sur des rêves en forme de projets pour les plus chanceux d’entre nous. L’on ne peut rien exiger de ceux que l’on aime, puisque cette démarche en elle-même serait tout sauf de l’amour. Ça serait déplacé, un total désaccord avec la vérité … Les individus ne doivent pas s’excuser d’être normalement égoïstes, des instants à l’imparfait.


    Bon sur ces quelques mots, chers lunois je dois, un temps, vous quitter.
    Au programme : Montagne puis océan, oh yeah . En rentrant, début août à ma façon, je vous raconterais.
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  • C’est du cinéma néanmoins c’est aussi la vie

    C’est du blues et de l’ennui
    En fond sonore y a un chanteur qui gémit
    C’est du cinéma néanmoins c’est aussi la vie
    En paysage y a la mer, un horizon et des rimes
    Une ou deux chansons marines
    Des pensées, parfois des cris, des écrits
    Un état d’esprit
    Rien que de l’eau, des larmes une pluie
    Un drôle de triste à noyer 
    Du driste
    Cet amer c’est rien que du chagrin à traverser
    Ça finit toujours par passer
    On vit ou fait semblant
    Faim de vie ou survie
    Un mélange de bleu et de noir.
    De l’espoir puis des déboires.
    Trop souvent de déception moi je dis
    On essaie l’oubli parfois
    Parfois dans du whisky

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  • 53 km 500

    Ce soir, c’était dîner dans un grand restaurant en bord de plage, à notre façon tous les deux on a voulu fêter l’été comme il le fallait, comme il lui fallait. Il voulait manger beau et bien présenté, moi j’aurais aussi bien croqué  un sandwich sur le sable et refait le monde comme je voulais. 
    Il est toujours aussi beau, beau comme un  géant, son assurance m’a une fois de plus bouleversée. Je me fais avoir à chaque fois, et il le sait ... Cet homme  m’ a écoutée, m’a sourie en me traitant de foldingo et d’utopiste endurcie en rajoutant  de ne surtout jamais rien changer. Je suis de gauche il est de droite, il aime toutes les couleurs, je n’aime que le bleu par dessus tout celui de ses yeux, il est matérialiste, je n’ai jamais de sous sur moi mais je m’en fous et l’apprend à mes enfants, il est déterminé et moi éparpillée, il est trop dur et moi trop vulnérable d’après lui, il n’aime que les femmes et moi les filles et les garçons, il fait avec le monde et moi fuis trop souvent les « gens » , il aime le silence et ne lit pas souvent mes cris, nous nous parlons toujours très calmement … Il s’active :  pour lui gagner fait partie du je (jeu), je ne sais pas comment il fait , moi je rêvasse, je le suis et laisse faire.
    Il veut à chaque fois tout recommencer… Faire de ce qu il reste encore nos plus belles  années, ensemble nous aurons les cheveux blancs. J’ai dit en fin de soirée au milieu d’un sujet super important que mes escarpins noirs me faisaient mal aux pieds, j’avais envie de pleurer… Je me suis déchaussée dès la sortie du grand restaurant, il a souri m’a embrassée dans le cou là où il sait, et nous sommes rentrés main dans la main, mais bien sur j’ai râlé, j’avais trop chaud puis trop froid . Chez lui, chez moi, on s’en fout c’est chez nous même si ….M’aime si c’est ni simple ni facile , c’est juste parce qu'il est tant.

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  • Brazil , CIJIPAPALAPALA

    Les phares de la voiture déchirent le noir. Je rentre, il est minuit . Rentrer plus tard serait un crime. Moi tête en l’air et chaussures en vert, c’est un clin d’œil que j’ai fait à Cendrillon, grillon, chant des cigales et flonflons.
    J’ai bien aimé ce dernier soir, la dernière répétition, le tour du stade improvisé, on a un peu dévissé vers la fin, pas grave nous étions contents de ce sympathique moment. On a joué tous ensemble, répété avant le grand soir, le dernier de la saison. Vendredi nous serons tous habillés en blanc comme de la lumière, nous serons souriants,nous jouerons sur le n’ rédo en tentant de ne pas se  planter sur le break de la mort. 
    Dans la voiture, le son est à fond, Barbara chante rien que pour moi, ça me change du son des percus, je commence à pénéter tout doucement dans mon monde, la nuit, le début de l'ennui.
    J’ai parlé d’elle ce soir, personne de mon entourage ne connaît ses chansons, à part celle de l’aigle noir, je trouve que c’est dommage. Et puis non tant mieux finalement,ça me donne l’impression que cette fée ne parle qu’à moi.
    J’aimerais bien être cette grande dame brune parfois.. .J'attends que ma joie revienne

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  • Latent.

    On attendant  des soulirs verts j'ai acheté ....

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  • Bon ben faut bosser ....

    Ma vie en roman photo illustration :

    AVANT MON SHOOT DE CHOCOLAT :

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    APRÈS 3 BARRES :

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    BON C EST LUNDI FAUT TRAVAILLER , FINI LE REPOS :

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  • C'est de la folie, timeo es ere timui, et intervention de prose .

    J’ai anticipé sans le faire exprès, j’ai flippé avant même de morfler : c'était le préliminaire avant d'être en colère. J'ai pleuré,  y en a qui disent que pleurer il n’ y a que ça de vrai . C’était tout à fait de l’ émoi, en tous cas ça en avait la couleur, l’odeur et le goût, un peu celui du cafard. Ça m’atteint de plein fouet par devant par derrière par le flanc, ça me va droit au cœur, transperce la pompe à sang. C’est assez violent et bouleversant, c’est un 8/10 de putain de tremblement de taire. C’est redoutable et magnifique à la fois, c’est un peu comme la recherche du courage, cette trouille pour de bleu …. tant pis si j’y perds mon âme, ma raison et mon latin. Au moins je ne serais plus équipée pour être terrorisée.. .En pleine crise de flip est mon capital humain.
    Utiliser les mots bleus pour décrire les coups.

    timeo es ere timui

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  • Le marchand de sable .

    Parler vite, trop vite  et sans regarder illustration :

    - Bonjourmadameinstallezvous
    - Bonjour  monsieur
    -Bonalorsalorsâgepoidstaillevousfumezsiouiàquellefréquenceavezvousdesallergies?
    Onrremplitlequestionnaireetonafini.
    -Alorsalorsj’aimeraispouvoirdire20ans906090maisc’estpaslecaslavéritéestdansmondossier
    ouijefumeparfoislamoquetteetpasd’allergies.- Reprise de ma respiration -
    Benditesdoncjesuisessouffléemoiàfairedesphrasesd’unseulmotcommevousc’estcommelacourse
    c’estpasfacilenotezledansledossierquejem’essoufflevitevoilàc’estdit


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  • C'était .

    Des photos encadrées, des bricoles, des bibelots, tout ça rien que des souvenirs.
    Rien que des objets, posés là, sur des étagères et des buffets, ça me fait penser à des trophées .
    Puis l’on s’aperçoit de temps en temps, ou une fois par semaine, selon,  qu’il faut leur faire la poussière.
    La salle à manger est ornée, la pièce à vivre comme on dit est propre et jolie. Espace accessoirisé ainsi de sujets de conversation prêts à être servis autour de certains dîners… Des épisodes, les bonnes heures qui rassurent et qui réchauffent l’existence même en été. 

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  • Vers la douceur

    Pourquoi ?

    Ben parce que ...

    Combattant de l'ennui, spectateur du néant

    clique l@ et monte le son à fond