Partie m'acheter des chaussures à Vernet les Bains !
Blog - Page 16
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Partie
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Bipolaire
Je n’aime pas la foule / Je me contente de solitude
l’hirondelle berce légère / elle tombe du ciel
le rebelle ne décline pas / il affine c’est tout
le nouveau né dort sous l’ombrage / le vieillard se suffit des blancs
l’arbre connaît-il la liberté / il continue de pousser parfois pour toujours
l’enfant d’instinct se dirige vers la tendresse / lui parfois si cruel
au petit jour la nature s’éveille / À l’aube le ville s’illumineJ'entaille mon souvenir, creuse jusqu’à la nostalgie / je m’endors, tout oublier pour cause de demain
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l'arbre
Arbre serpent
la foule des feuilles berce légère
est-ce que l’arbre connaît la liberté ?
le serpent se faufile lentement le long du tronc de l’arbre tordu
tordu à cause des élément
les plus hautes branches de l’arbre noué échancrent le ciel :La mélancolie
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Question à la con : Est ce que l'avenir était meilleur avant ?
Match en direct à la télé : OM-PSG ...
Le temps c’est de l’argent
Mais j’ai besoin de temps pour vivre et faire des sous
des sous-entendus également
vivre et vivre pour fabriquer de l’argent, c’est différent
oh si seulement le tant m’appartenait
j’aurais le temps de trouver la solution de mon emploi du temps
des solutions ou des contretemps
Saloperie de temps, lorsque contre moi certains éléments
la pluie en fait partie
la vie doit se payer si possible argent content
non ?
pas de quoi en faire une dépression
ça saurait si l’argent atténuait la douleur
tiens !
le son du tic tac détonateur s’est estompé
comment fait alors on pour tuer le temps ?
puisque l’on va tous mourir , parfois ça me sidère d’observer tout ce monde pressé
quand mon heure sera arrivée, pourrai-je être en retard et fauchée par la même occasion ?
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QUESTION DE LUNE
Pourrais-je vivre ?
si réponse m'était pénible ?
Malgré moi suivre ...Bouquets de nerfs
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L'ouvrage.
Construction et préparation d'une villanelle pour le prochain atelier d'écriture du 10/11/2010 animé par Adeline à l'hopital de Narbonne:
L'ouvrage :
Il m’offre ce beau voyage
au même endroit s’en aller
un séjour qu’il envisageContinent et nuages
un présent plus un trajet
le futur en ouvrageMon envie se propage
un jour et une traversée
un séjour qu’il envisageFaut-il que l’on s’engage
que va-t-il me demander ?
le futur en ouvrage ?Il m’offre un paysage
mais va-t-il s’agenouiller ?
des jours que j’envisageTous deux en équipage
pas même peur de s ‘en aller
un séjour qu’il envisage
le futur : un ouvrage -
Se sentir observer en train de boire son thé
illustration
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L'épuisement :
Je voudrais être une fatigue, où la pesanteur des postures s’apparente à la caresse d’une paresse, couffin douillet des gestes moux , au tour des mots moelleux : Aux confins d’une lourdeur quasi voulue, dotée d’un sourire en coin disant j’ai bon vécu, j'ai vécu pour de beau…
Le manteau étroit de la faiblesse ne me convient pas, ralentissant mes gestes et ne me tenant en aucun cas chaud , cachot de mes décisions ….
Je frissonne à l’idée de garder l’œil cerné . Avais –je tort de ne vouloir entendre que mes envies jusqu’à en oublier d’écouter mon corps ? Mais bon , ce n'est pas trés grave tout ça , n'est-ce pas ?IL suffit juste de serrer les dents,de ne rien accorder à la survie et de n'aimer que la vie .....
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Samedi soir 23h32 exactement :
Dans ce village, il y a une rue
À la fin de cette rue : une impasse
Dans cette impasse il y a une voiture qui attend
Le moteur ronronne, il est patient…
Dans cette voiture il y a moi qui attend que mon fils sorte de sa soirée
Dans cette attente il y a moi qui pense à avant
Dans mes pensées je songe à un court extrait de l’année 1986
En 1986 il y a une ville
Dans cette ville il y a une rue
À la fin de cette rue : une impasse
Dans cette impasse il y a une voiture qui attend
Le moteur ronronne, il est patient…
Dans cette voiture il y a mon père qui attend que je sorte de ma soirée
À qui, quoi pense-t-il à cet instant, je ne le sais…
Peut-être à un similaire sentiment de nostalgie?
Durant quelques minutes, j’ai songé à nouveau à l’année de mes 15 ans.
À 15 ans, je pensais que j’avais largement le temps
À 38 ans, je suis dans ma voiture, au fond de cette impasse, dans cette rue, dans ce village et j’ai un peu froid… En fait non carrément je suis carrément gelée et je commence à présent à m’impatienter !
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Recyclage
Recyclage de mon vieux sèche cheveux d'un cache pot, des aiguilles d'une vieille pendule, d'un coquetier d'une paire de lunettes de piscine et d'une paire de semelles pointure 41 fillette...