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Atelier, le mot : "impair ". Papier kraft sur la table de ma cuisine

Écouler la paire, le duo jusqu’à la dernière goutte d’envie.

Exister, avoir vécu un peu du meilleur et un peu du pire

Un peu des deux

Puis l’avis d’en interpréter le souvenir

Parfois je m’embrouille, souvent je ne se sais plus, je ne sais rien.

Était ce l’un auprès de l’autre ou plutôt  l’une puis l’autre ? Je n'ai pas eu le choix .

N'avons-nous jamais été deux , vraiment ? Eux : nous c’est-à-dire un ensemble incohérent ?

Je me répands au milieu des illusions à décrire.

C’était

Il y a si longtemps.

L’émotion est devenue scénario à présent

L'aperçu de cette histoire plane au-dessus de mes songes , commun mensonge . J'agrémente chacun de mes débuts de repos d’un épisode.

je distingue, à peine, le ton, la teinte de mes rêves.

Faut que je vois le tableau

Cette aquarelle sera suspendue au-dessus de mon lit

Un peu schizo, imperceptible duo, ma mémoire choisit les morceaux qui me colleront jusqu’à la fin et sur la peau.

Une partie de nous, de moi se transformera- t-elle en début de roman ?

Indivisibles et entiers , les deux mots « ELLE » et « LUI » ne faisant plus qu’un. C’était un impair, une si belle erreur .

 

IMG_0301.JPG

 

Commentaires

  • Les bulles de savon que cet enfant
    S’amuse à tirer d’une paille
    Sont translucidement toute une philosophie...

    Claires, inutiles et passagères comme la Nature,
    Amies des yeux comme les choses,
    Elles sont ce qu’elles sont
    Selon une précision bien rondelette et aérienne,
    Et personne, pas même l’enfant qui les abandonne,
    Ne prétend qu’elles sont plus que ce qu’elles semblent être.

    Quelques-unes se voient à peine dans l’air lucide…
    Elles sont comme la brise qui passe et touche à peine les fleurs
    Et dont nous savons qu’elle passe pour la seule raison
    Que quelque chose en nous se fait plus léger
    Et accepte tout avec plus de netteté.

    Alberto Caeiro (F. Pessoa, "Le Gardeur de troupeaux", XXV)

  • J'ai fait ce dessin sur papier kraft huilé puis il a fallu encre de chine diluée , brou de noix du thé , craie grise orange et un peu de peinture blanche , puis j'ai pensé très fort à la transparence des bulles ces insaisissables ballons à mon envie de légèreté , le texte que ut as choisi est rès beau mon dessin le mérite - il ? Je suis émue par ton amitié .

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