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  • Une bague rouge + un soulier vert

    « LUTO. LOIN IL EST ENTRÉ DANS UNE AUTRE. ERE ET HEUREUSEMENT VIVANTE. CERTAIN(E)S NE L'AVAIENT PAS OUBLIÉ. LOUP SORT DE SON ABRI. »

    Comment oublier l’image de ce loup qui m’a tant marquée. Je devais avoir une dizaine d’années, dans les années 80, la télévision ne proposait que 3 chaines , et je guettais sur antenne 2 l’émission de 30 millions d’amis, le samedi après-midi…. C’est donc via l’écran que je me suis intéressée pour la 1ère fois aux loups. J’ai découvert et j’ai adoré. Le loup blanc était le chef, j’étais impressionnée. Le sujet me ligotait, les images m’ attachaient, d’une certaine façon, me fascinaient. Découvrir la meute dans un décor qui fait penser à des vacances de Noel, l’incertain code d’honneur de ces animaux, leur force, leur grande beauté et surtout leur grande fragilité. Celle dans le regard que l’on devine, si l’on se donne la peine de bien regarder. Bref un capital sympathie immense pour moi gamine. L’image du loup depuis serait associée aux choses de la vie agréables à contempler et approcher. Je n’ai, seulement, eut que deux fois l’occasion d’en approcher de près, hélas en captivité…au bas d’une montagne avec trop de curieux touristes dessus, moi comprise…trop de monde au portillon, pour prendre la pause, comme on dit. Il me suffit de penser à un loup pour imaginer un beau dessin, une belle histoire voire un drôle d’autoportrait. J’aime l’image du loup, c’est ainsi j’aime loup, admirer de loin sa liberté, songer à lui. Puis retour à la réalité, à 41 ans je ne suis plus, une petite fille. Mais bon… Depuis 7 ans à peu près exactement un gros chien blanc en forme de loup habite chez moi. Il s’appelle Cyrus, parce que ça ressemble au titre d’un roman, une belle histoire imaginaire. L’histoire d’un loup, qui plante son regard dans le mien. Ça ressemble à du toujours, pas m’aime de l’amour. Les morsures cicatrisent, mais pas le sentiment d’insecure.

     

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  • fait maison

    Ma lampe s'appelle Raymonde

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  • Bizarre

    Le temps d’un souffle j’oublie. Un soupir, et l’inspiration disparait. Je ne trouve plus les mots pour décrire ma rêverie. Je me sens dépouillée d’un instant parfait. Le souvenir d’à peine quelques couleurs et de tons. Quelle étrange sensation c’était ?
    Je regarde par la fenêtre l’averse et un troupeau de nuages pas tout à fait blancs. Je tire sur la laine des manches de mon pull, je sens comme un frisson. C’est le pull de mon homme, celui que je porte quand il n'est pas là et qui m’est trop grand. En plus il tient super chaud.
    Le paysage suinte avec ce temps-là. Les gouttes se pressent, certaines s’écrasent sur le carreau, tandis que d’autres agonisent le long de la vitre. Je soupire, ça fait du flou. Je respire fort à nouveau, l’opacité du verre s’intensifie. Le bouclier est un peu moins transparant.Je lève mon bras, sors l’index de ma manche et commence à dessiner : aujourd’hui, il y a un soleil devant la pluie.
    C’était ça la sensation, le frisson

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    … 

  • !!!

    !!! clic l@

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