En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Un coucou pour t'annoncer que sauf catastrophe naturelle, mauvais sorts et autres maraboutages, je vais chercher ton livre à la librairie cet ap-midi.
Comment j'ai trop hate !
Youpi !!!
Bises
Pour mon Dom à moi je fais de gros bisous tous neufs et tous frais, grâce à toi 4 de mes livres ont traversé le pays .
J'ai hate d'avoir ton avis .
J'en suis à la page 19, je m'étais dit que j'attendrai ce soir pour m'y plonger.
J'ai honte d'avoir craqué, je suis content d'avoir commencé la lecture.
Tu ne peux pas t'imaginer ce que tes mots m'apportent.
Tes mots et mes maux ou l'inverse, ça dépend.
Il doit forcément existé un lien, une sorte de connexion, entre les cassés de la vie, entre nous... sinon pourquoi j'aurai tellement voulu te lire sans rien savoir de tes maux si ressemblant aux miens. Tes mots que je comprends, tes mots qui réveillent mes maux, mes peurs, mes terreurs, ma culpabilité, ma honte, ma détresse, mais les rendent presque supportables, presque vivables, parce qu'enfin je lis avec les mots d'une autre le sens de mes maux, de tes maux.
Je vais continuer la lecture, tant pis si j'en pleurs, tant pis si les souvenirs (fichue mémoire) sont encore ravivés, tant pis, tant pis, mais sincèrement, du fond du cœur :
merci
Commentaires
Un coucou pour t'annoncer que sauf catastrophe naturelle, mauvais sorts et autres maraboutages, je vais chercher ton livre à la librairie cet ap-midi.
Comment j'ai trop hate !
Youpi !!!
Bises
Pour mon Dom à moi je fais de gros bisous tous neufs et tous frais, grâce à toi 4 de mes livres ont traversé le pays .
J'ai hate d'avoir ton avis .
J'en suis à la page 19, je m'étais dit que j'attendrai ce soir pour m'y plonger.
J'ai honte d'avoir craqué, je suis content d'avoir commencé la lecture.
Tu ne peux pas t'imaginer ce que tes mots m'apportent.
Tes mots et mes maux ou l'inverse, ça dépend.
Il doit forcément existé un lien, une sorte de connexion, entre les cassés de la vie, entre nous... sinon pourquoi j'aurai tellement voulu te lire sans rien savoir de tes maux si ressemblant aux miens. Tes mots que je comprends, tes mots qui réveillent mes maux, mes peurs, mes terreurs, ma culpabilité, ma honte, ma détresse, mais les rendent presque supportables, presque vivables, parce qu'enfin je lis avec les mots d'une autre le sens de mes maux, de tes maux.
Je vais continuer la lecture, tant pis si j'en pleurs, tant pis si les souvenirs (fichue mémoire) sont encore ravivés, tant pis, tant pis, mais sincèrement, du fond du cœur :
merci