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Within, and I am silent

Un matin d’il y a longtemps face à l’océan mes larmes semblaient toutes petites, contempler le ressac me rendait, un peu moins amère .C’est à peu près à partir de ce matin là, que j’ai commencé à comprendre comment me détacher d’à peu près tout, tous.
C’est un état d’esprit assez lâche, certes, mais assez confortable,aussi je l’avoue. 
C’est à l’intérieur du souvenir de ce matin d’océan que parfois je me réfugie.
Avoir envie des choses, chaque jour d’avantage un peu moins m’éloigne d’eux, et surtout d’à peu près tout, force aimant …
Dans le silence, je décide, bien trop souvent de m’évanouir. Il y a bien trop à dire, l’écho des mots dérangerait, en toute franchise je pense. Ma voix est bien trop fluette de toute façon. Alors j’écris…


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Commentaires

  • Larmes d'océan. Bises

  • Bonjour MP, difficile pour moi de revenir sur les blogs, le départ de Vlad m'a "débranchée" de tout, des larmes face à l'océan j'en ai été envahie....Je le suis encore parfois mais ça va un peu mieux, cette année 2011 a été terrible !
    J'espère que tu vas bien toi.
    Nous ne nous connaissons que virtuellement mais je me sens bien quand je passe ici, j'y ressens de l'amitié, de la chaleur et du partage, 3 valeurs pour moi qui sont essentielles. De plus ta localisation me plait, j'ai passé de très agréables moments heureux dans ta région, brefs mais intenses avec mon fils et son amie. Je t'embrasse très fort petite MP.

  • C'est la souffrance d'être qui nous fait rechercher l'autre, comme un palliatif ; nous devons dépasser ce stade afin d'atteindre l'état où le simple fait d'être constitue par lui-même une occasion permanente de joie ; où l'intermédiation n'est plus qu'un jeu, librement poursuivi, non constitutif d'être. Nous devons atteindre en un mot à la liberté d'indifférence, condition de possibilité de la sérénité parfaite.
    (Michel Houellebecq, "La possibilité d'une île)

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