UA-112009492-2

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pas facile à prononcer quand les mots sont froissés.

Je suis de ces gens cactus hérissons habitants des montagnes rectangulaires en béton ,  troglodytes d’un immeuble, ou résident d’une enfilade de pavillons. En plaine, en montagne ou en bord de mer, partout semblables nids, habitations .

Je ronfle et m’éveille dans ma case, au départ c’est avec mon armure de piquants que je choisis de m’équiper. Dans mon regard c’est souvent de l’hostilité, j’ai bien des fois les sourcils froncés. Moi vue de loin on dirait de la méchanceté.
Que plus personne n’y voit pas bien clair je ne m’y suis pas bien habituée, et moi/émoi en particuliers je trouve que ça fait trop mal aux yeux la réalité, je préfère hiberner même en été. La vérité… Mon truc en moins c’est que je n’ai pas vraiment de profession, mais rien que de la passion. « De pati » j’ai trinqué, ça m’ a saoulée, sans le faire exprès

Je suis de ces gens cactus hérissons, pas vraiment méchants, certains d’entre nous parfois sont même tout tendres dedans. Mais avec rien que des soupirs en toile de fond, commun blues ronronnement. Des gens cactus hérissons observant le soir l’éclairage ciel.

is-74.jpg

Les commentaires sont fermés.