Au mitan du groupe, au milieu de la troupe, un étranger se faufile. À mi-temps du chemin, parfois, une étrange aire se dessine, l’étrange erre derrière un chemin: asile d’ alliés nés ou refuge des fous , c’est un espace à plein "tant ", un repos, un extra-vacant , parfois un sous-pire.
Caché là, derrière des voiles, se figure un air bizarre, un souffle, on dirait de l’ inspiration.
L’étrange est presque chien ,il se cache, c'est le masque posé sur un désir envisagé, comme un loup au milieu de la meute. Je trouve cet « émoi » très beau, on dirait la vraie vie mais en mieux.
L’ issue d’un répit, puis quelques tremblements, continuer malgré tout et feindre l’oubli . Pas d’issue de retour, les machines à remonter le temps ça n’existe pas, les erreurs ça ne s’effacent pas comme ça, en un tic tac de doigts.
Commentaires
Et pourtant le tic toque.