Je voulais toucher ce reflet au plus près . Ne pas me contenter d’observer ! Toi qui me coïncides tant, mon sosie quasi parfait . Ce corps trop grand… encombrant, ce regard chagrin, des traits ingrats comme les miens et ces cheveux rebelles punis dans un chignon. Nos silences trop fréquents se confondent et se mélangent . Puis il y a cette absence de peurs communes à nous deux , sans peur du regard d’eux . Ensemble, nous détenons cet étrange penchant vers la violence , celle des sentiments . Le choix de ne rien sacraliser et surtout pas l’amour …
J’ai découvert une femme me ressemblant tant : ces deux personnes genre féminins plurielles : l’une et l’autre, sapho à l’instant. L’écho du m’aime sentiment, faire de cette relation une « confusion »,fusion en corps , de là vers là , jusqu’au sourire de nos cons.
Bon aller, je vais continuer de bosser, soupir...
Commentaires
Je crois qu'il est temps...
Dali ?
il est temps ?
non de moi !
Oui, j'avais compris que c'était de toi.
Dali, il est temps que tu ailles visiter Figueras...