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George Sand. Elle sans le " S " ou le romantisme

«  Ce que l’on écrit, finit par arriver «  dixit Alfred de Musset: l’ennui de l’ennui de George Sand.
Mes nuits, ces temps-ci, sont hantées par Leila, ce trésor, ce petit nom, mon préféré.
Une enfant dont la mère et la grande mère n’avaient de cesse de se disputer la présence, uniquement: " là "garde.... ARRACHER . Enfance réduite, et petite âme ballottée en espace réduit : L’amplitude des bras, ceux de maman à Paris et l’éducation de mamie paternelle à Nohant.
Fille et petite fille n’incarnant, finalement, qu’un butin : la descendante directe de Maurice Dupin de Francueil, cet homme démesurément aimé par sa mère Mme Dupin et par son épouse Sophie Delaborde. Aimer de trop, le fils adoré d’une part, le «  mâle «  aimé d’autre part, donc….Bien que ceci soit mon interprétation très personnelle.
Aurore, fille et petite fille dont l’enfance et l’adolescence, en conséquence, survécurent en tant que territoire à conquérir, l’incarnation d’un champ de bataille entre ces deux femmes… C’est à partir de là que tout a commencé.
George Sand alias Aurore, alias baronne Dudevant, alias épouse de Casimir, alias Leila, alias l’ Anadalouse, alias maman : ELLE.
Je vous épargnerais le descriptif de la suite, la vie, l’avis de George Sand, l’insomniaque. Je n’en ai nulle envie ni le talent de le faire…. Hortense Dufour fait ceci très bien.
Je retiens de cette lecture, le parcours d’une amoureuse, de l'UNE se battant pour les droits des femmes, d'une survivante aux maladies, d’une auteure insatiable, d’une personne habitée tantôt par le spleen, tantôt par le bonheur de sacraliser l’émotion…
Un besoin constant de mettre en scène ses «  soifs », brûler ses elles à l’approche d’un «  feu », à priori celui Marie de Dorval ( sa maîtresse) fut le plus puissant . Celui de Musset le plus " fou" !
N’aimer que l’amour, finalement….Le combat intérieur de cette femme défiant l’«  homme », épouse adultère, lovant des hommes avec soins, mère chérissant son fils, et ne supportant pas sa « grosse » fille. Dixit George Sand ( pas sympa pour sa petite Solange…)
ÊTRE conjugué à l’imparfait, incapable de quiétude. Une attitude sereine lui aurait paru un penchant insupportable. La somnambule épuisée à l’excès…


En tant que ménagère de 36 ans , je dois dire que cette lecture m’a bousculée, prise et parlée, ce qui veut dire en langage lunois : Purée, oh my God : rock’n roll for ever ! 
 « l’amour de la vie est-il donc un crime ? » Leila (1834).
Bon aller, j’arrête, ce matin est de trop courte de durée, je dois me dépêcher, Dark Vador m’attend, j'ai un truc à faire ! 

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Commentaires

  • Petit coucou du samedi =)
    Bon aller, moi j'vais bosser (youpiii, je suis vraiment très très motivée là...), vive le brevet blanc !
    Bon week end MP, bisous.
    Gaby

  • N'oublies pas les macarons, Princesse Leila...

  • @ Chloé : aller va bucher , à la lueur de ta lampe de bureau
    @ Franz : princesse Leia d'abord a dit Georges ...Lucas. Je disais d'ailleurs, il y a peu, à quelqu'un que j'aimais bien Yoda le jet d'ail . Aie ! Cela dit j'ai une pensée émue envers Shubakette ( petite sœur de Shubaka ) le matin pour se coiffer.En ref aux cheveux .... Purée, je me réveille de ma " sieste" ....Garçon une autre dose de xylocaine, une double on the rocks ,hips ! Pardon arf ....

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